La liste des VESTIGES de l'exposition de 1900 ... Liste non exhaustive et non certifiée à 100 % (me dire)
Partie du palais du Cambodge du « Tour du monde » (Parc oriental de Maulévrier à 23 km de Cholet)
Cette entrée de temple Khmer est une reproduction d’un des temples d’Angkor Vat. L'architecte du en "Tour du monde" était Alexandre Marcel. Cet ensemble architectural était conçu par la compagnie des « Messageries Maritimes ». Ce fragment est orné de deux statues des génies du monde souterrain protègeant le temple des mauvais esprits.
Bas relief de la porte monumentale de la Concorde (Breuillet - Essonne)
Ce monument, représentant les ouvriers de l'exposition, ornait en 1900 le socle du pilier gauche de la porte monumentale de la Concorde. Cette porte dont l'architecte était Binet faisait 50 mètres de haut. Oeuvre du sculpteur A. Guillot et édifié par le céramiste Emile Muller, récupéré à la fin de l'Exposition, le relief fut plaçé dans la cour de l'usine Muller à Ivry avant d'être remisé en 1957. En 1963, le bas relief est réinstallé dans le " Parc du Moulin " du village de Breuillet dans l'Essonne.
Pavillon Japonais du panorama du « Tour du monde » (Avenue Van Praet – Bruxelles - Laeken)
Le pavillon provient du panorama du "Tour du monde" édifié par les messageries maritimes. Démonté après l'exposition, le pavillon fut reconstruit prés du domaine royal de Laeken par la volonté du roi de Belgique Léopold II. Une tour japonaise a été édifiée également pour rappeler celle qui jouxtait le pavillon en 1900.
Palais des Armureries de Liège (2 impasse Germaine – Saint Ouen).
Construit par l’architecte Paul Jaspar sur une charpente d’Eiffel. Ce batiment a été très rénové au milieu des années 1990
Kiosque mauresque (Manoir de Kapados – Gap – Cote d’Azur)
Portique de la manufacture de Sèvres (Square Félix Desruelles – Paris)
Portique monumental en grés cérame du à Jules Coutan et appliqué en 1900 sur la facade du palais de la manufacture de Sévres en bord de Seine
Bas-relief monumental des «Boulangers» en brique et grés émaillé (Paris – square Scipion)
Conçu par les établissements Emile Muller et placé d’abord square Félix Desruelles après l’exposition avant d’être transféré ici
Grand palais (Champs-Élysées – Paris)
Batiment permanent édifié par Deglane, Louvet et Thomas et destiné en 1900 à recevoir des présentations d'arts. Il est depuis lors devenu lieu de salons automobiles, expositions aéronautiques, expositions temporaires artistiques, pavillon des expositions en 1925 et 1937, etc...
Petit Palais des Beaux-Arts (Champs-Élysées – Paris)
Palais permanent édifié pour l'exposition de 1900 par Charles Girault. Il est aujourd'hui affecté au Musée des Beaux Arts de la ville de Paris.
Phare des Biscuiteries LU Lefèvre-Utile (Musée du château salle 25 - Nantes)
Ce phare en plâtre peint a été réalisé pour le pavillon LU à l’Exposition universelle de Paris en 1900
Serre du Dahomey (Jardin tropical du Bois de Vincennes - INRA – Paris)
Installée sur le site du jardin tropical en 1901 après avoir été présentée au Trocadéro près du pavillon du Dahomey. A droite, vers 1901, vue de la serre au jardin tropical entourée des totems - vue actuelle de la serre toujours au bois de Vincennes.
Totem du Dahomey (Collections du Jardin tropical - Bois de Vincennes - Paris)
Ce totem était présenté avec de nombreux autres dans le jardin autour du pavillon du Dahomey. Plusieurs totems sculptés furent ensuite présentés au jardin tropical autour de la serre du Dahomey dans un premier temps, puis protégés dans les collections du jardin tropical.
Pavillon en métal Kasli (Musée des beaux arts Ekaterinburg - Russie)
Ci-contre, deux vues actuelles du pavillon conçu par l'architecte Baoumgarten.
Kiosque provenant de l'exposition universelle de 1900 à Paris (Domaine du belvedére de Chatillon - Forêt de Rosny sur Seine).
Kiosque situé dans ce domaine situé entre Mantes et Rolleboise.
Moellons du palais des tissus (Eglise Notre Dame du travail – rue Vercingétorix – Paris)
Moellons ayant servis à l’édification du palais – Ils furent réutilisés pour les façades latérales de l’église. il semble que la toiture en métal dentelé du palais de l'industrie de 1900 ait resservit également pour la construction de cette église (cf. plaque explicative devant l'église).
Pavillon avec fenêtres néo-mauresques et arcades (Ateliers Lacouriére – 11 rue Foyatier – Butte Montmartre Paris 18eme)
Palais de l’Equateur (Bibliothèque municipale à Gayaquil en Ecuador)
Pavillon de style Louis XV
Escalier à double volée, ferronnerie et sculpture de femme (Villa des Arts – 15 rue Hégisippe Moreau)
Maquette de l’Opéra Garnier (musée d’Orsay – Paris)
Miroir du sidérostat de la grande lunette de l’exposition (Observatoire – vestibule de la façade nord – Paris)
Harnais pour deux chevaux présenté dans le palais des moyens de transport (Musée Lorrain du cheval à Gondrecourt le Château)
Carrelage oeuvre de 120 m2 composée de plus de 4000 carreaux (Musée de Paray le Monial)
Carrelage hors concours à l'exposition de 1900. Il s'agit d'une grande rosace transportée depuis la villa de Marseille où elle se trouvait et sauvée en 1999 de la destruction. Rosace fresque de 122 m2 aux motifs floraux « Belle époque » conçue à l’Usine de carrelage de Paray Le Monial ; elle sera réédifiée au Musée de son créateur Paul Charnoz.
Boiseries pour le pavillon de l’union centrale des arts décoratifs (Musée des arts décoratifs - Galerie du pavillon de Marsan– salle art nouveau – Louvre – Paris)
Salon de bois en platane d’Algérie réalisé par Georges Hoentschell et modifié en 1905 par l'auteur lui-même. Le pavillon était élevé en 1900 aux Invalides. L’une des vitrines en angle fut acquise à l’exposition par le Museum für Kunst d’Hambourg où elle est exposée
Panneau peint « L’Ile heureuse » pour le Grand salon du pavillon de l’union centrale des arts décoratifs (Musée des arts décoratifs - Paris - Louvre)
Panneau par Besnard exposé au Musée avec une photo de l’intérieur du pavillon en 1900 à l'appui. Les grands meubles et fresques murales dans cette salle du musée y figuraient aussi
Exposition des chemins de fer français (Musée des chemins de fer – 3 rue A. De Glemn – Mulhouse)
Scène Japonaise imprimée à la main (Hôtel de ville de Ribeauvillé – Hall du 1er étage)
Copie de l’œuvre originale en 36 couleurs et en plus de 1000 planches présentée en 1900 et récompensée d’une médaille d’or.
Lambris provenant d’une marqueterie de plancher de l’exposition (Nanterre – 1er étage inférieur d’une maison rue castel Marly)
Vase en porcelaine sur son socle de grés cérame (Vincennes – entrée de la salle des fêtes de la mairie)
Vase d’Henri Brenville qui oeuvra à la manufacture de Sèvres.
Chaire conçue par Guilbert (Saint-Cloud – église)
Primée à l’exposition.
Statue « Marc Antoine tué par les lions » d’Arthur Strasser (Vienne – près de l’immeuble de la sécession Viennoise – Autriche)
Horloge monumentale (Musée de Schramberg - Allemagne)
Gare d’Orléans ou gare d’Orsay (Quai d’Orsay - Paris)
Gare inaugurée le 14 juillet 1900 afin de desservir l'exposition universelle voisine. Elle est désaffectée avant 1940 puis a servie d'entrepot, de salle de spectacle avant d'être condamnée par un projet d'urbanisme. Suite aux protestations lors de la destruction des halles de Baltard, le permis de démolir est retiré. Elle est transformée en musée du XIXeme siècle et inaugurée en 1987 par François Mitterrand
Bas reliefs du pavillon des Indes anglaises - Grille d'entrée du pavillon de la Femme - Pavillon des vins et de l'alimentation de Bordeaux (La Ruche, atelier d'artiste - 2 passage de Dantzig - Paris)
Ensemble provenant de l'exposition universelle de 1900, reconstruit ici par le sculpteur Alfred Boucher en 1902. La Ruche étant elle-même constituée en alvéoles d'artistes
Serre métallique (Asson – Aquitaine)
Construite par la société Marrey et Stockel, la serre aurait obtenu à l'expo le 1er prix de ferronnerie et de serrurerie d’art.
Vitrail « Le travail par l’industrie et le commerce enrichit l’humanité» du pavillon de la chambre de commerce (Ancien siège de la chambre de commerce de Paris – 2 place de la Bourse)
Installé en nov. 1900 dans la nouvelle salle des séances, dù au peintre Grasset et au verrier Gaudin. On peut y voir aussi le port fluvial d’Ivry
Pavillon des Bois précieux (Institut de recherche agronomique - Jardin tropical du Bois de Vincennes)
Construction en bois réédifiée sur le site de l'exposition coloniale de Nogent sur Marne en 1907 puis conservée dans le Jardin tropical. Elle est aujourd'hui dans un triste état et protégée par des bâches de plastique
Bas-relief « L’histoire du feu » (Musée des arts décoratifs, centre du verre, Paris)
A gauche, détail du bas-relief en pâte de verre polychrome moulé par Henry Cros. Hauteur : 2,15 m. Largeur : 2,80 m.
Chalet (Vern-sur-Seiche dans le Morbihan)
Ce chalet fut démonté et reconstruit à Vern dans le site de la laiterie Fromagerie
Horloge de forme candélabre style Louis XIV (Musée de la faïence de Gien)
Horloge d’une hauteur de 3,60 m. réalisée par Paul Jusselin et Ulysse Bertrand
Sculpture pour la façade du Grand Palais (Commentry) Oeuvre d’Alphonse Amédée
Cordonnier en marbre blanc commandée à l’artiste pour orner la façade du grand palais lors de l’exposition universelle
Eolienne de Bollée (Roueïre – Hérault)
L’éolienne de 23 m. fut réalisée en 1898 et présentée lors de l’exposition universelle de 1900
Collection de ferronnerie de la préhistoire au XIXeme siècle (Musée Le Secq des tournelles – Rouen)
La collection fut présentée dans sa presque totalité à l’exposition
Grande machine électrique qui a fourni l’exposition (Electropolis – 55 rue du Pâturage – Mulhouse)
Dans ce musée est présentée une machine identique à celle qui alimenta l’exposition en électricité et qui était installée au Champ de Mars
Centaure enlevant une nymphe par Gustave Adolphe Grauk (Paris - Mairie du 6eme)
Il s'agit d'un groupe sculpté en marbre blanc de Carrare qui fut installé ici en 1900, après avoir figuré à l'Exposition universelle au Grand Palais
Sculpture d'aigle du palais de l' Allemagne (Jardin italien Georgian Court University Lakewood - USA)
Sculpture en fer forgé achetée à l'exposition de Paris 1900. Elle figurait dans le vestibule de la section allemande installée aux Invalides
Pont Alexandre III (Pont permanent au dessus de la Seine - Paris)
Pont reliant la voie triomphale entre les deux palais des beaux-arts et l'esplanade des Invalides durant l'exposition édifié par Jean Resal et M. Alby. La première pierre en fut aposée par le tsar de Russie en 1897.
Maquette des Usines du Creusot présentée au pavillon Schneider (Le Creusot - Orangerie/Musée "Le métal, la machine et les hommes")
Mesure 7 sur 3 mètres
Deux pavillons divers (Atelier Calka - Rue Raffet - Paris)
Un de ces deux pavillons de bois, métal et hourdis est occupé par l'atelier du sculpteur Calka. Ils étaient recemment menaçés de destruction
Gare des Invalides (Esplanade des Invalides – Paris)
Gare située sur l'esplanade des Invalides afin de desservir l'exposition universelle. Elle est aujourd'hui occupée par la société Air France. L'architecte en est Lisch
Halle métallique (Sucy en brie, 16 rue de Vesvres - Val de Marne)
Hangar couvrant partiellement la cour proviendrait d'un pavillon de l'exposition universelle de 1900
Modéles des plaques « Lion » et « Taureau » en céramique grès émaillé pour la porte monumentale de l’exposition (Musée Dubouché – Limoges)
Plaques de 46.5 cm de largeur créées par Jouve et Bigot
Plaques en grès émaillé pour la porte monumentale de la Concorde à l’exposition de 1900
(Musée d'art appliqué - Hongrie)
Ces plaques aux motifs animaliers ornaient la base de la porte monumentale de Binet située sur la place de la Concorde
Sculpture "Les vendanges" du pavillon des grandes marques de Champagne - (Union des Maisons de Champagne - UMC à Reims 1 rue Marie Stuart)
Sculpture d'Emile Peynot présentée en 1900 sous un hall de l'exposition. L'exemplaire présenté aujourd'hui à Reims fait partie d'une série de reproductions réduites (50 cm de haut) de la sculpture originale. L'original semble avoir disparu.
Site web de l'UMC (avec des vues du pavillon de 1900)
Passerelle Debilly (Seine - Paris)
Conçue par Jean Resal et Amédée Alby, construite en 1899 pour relier les deux rives de l'exposition bordées de palais sans en quitter l’enceinte. Elle devait disparaître après l’expo mais la ville demanda qu’elle soit maintenue
Frise supérieure et fragments de la frise végétale partie du fond du hall du pavillon de la Bosnie Herzégovine (Musée d’Orsay – Paris)
Créées par Alphonse Mucha, il s’agit là de la partie droite de la frise.
Fresques décoratives du pavillon de Bosnie Herzégovine (Exposés à Montpellier en juin 2009 dans une reconstitution du pavillon de l'exposition 1900)
Pavillon de la Nouvelle Caledonie (Bibliothèque Bernheim à Nouméa)
Panneaux décoratifs du palais de la décoration (Musée d’Orsay – Paris)
« Brodeuses » (l. : 2.20 m.) ; « Eléments, formes et couleurs » (l. : 4.70 m.) ; « Fête de nuit » par Steinlen
Maquette animée du carreau de mine de Bruay en Artois (Musée de la Mine du Molay Littry - rue de la Fosse Fraude Miche)
Maquette au 1/10eme du siège n°5 de la mine, réalisée pour le palais des mines et de la métallurgie de l'exposition de 1900
Modèle au 1/25 réalisé par Digeon du Pont tournant du canal des rapides (Musée des arts et métiers – Paris)
Modèle au 1/25 du Pont de Hué
(Musée des arts et métiers – Paris
Caméra réversible panoramique dite « Cinéorama »
(Musée des arts et métiers – Paris)
Ce systéme innovant fut réalisé par Raoul Grimoin Sanson. L'attraction "Cinéorama" était installée dans une réplique de Montgolfière au sein de laquelle étaient disposées les projecteurs ainsi que les spectateurs. Le paysage panoramique défilait alors sous leurs yeux simulant un vol au dessus de paysages grandioses.
Maquette du Palais "Bénédictine" de Fécamp (Palais "Bénédictine" - Fécamp)
Grande maquette présentée en 1900 à l'exposition universelle de Paris. Cette maquette au 1/33éme a été réalisée d'après l'oeuvre de l'architecte C. Albert. Elle a été restaurée de 1982 à 1984.
Eléments divers (Maison à l'architecture éclectique - 4 quai de Seine - La Frette sur Seine - Val d'Oise)
Cette villa de bord de Seine est en partie édifiée avec des éléments provenant de l'exposition universelle de 1900. L'identification de ces éléments est toutefois ardue
Vase monumental (Musée du petit palais - Paris)
Eléments du palais de l’éducation (Un bâtiment des anciennes Blanchisseries de Grenelle – 14 rue Rouget de l’Isle Issy-Les-Moulineaux)
A partir de 1905, une succursale de la blanchisserie de Grenelle s’établit à Issy. Le premier bâtiment dit " la Grande Usine " en halle à trois vaisseaux, briques et pans de fer serait le Palais de l'Education de l'exposition universelle de 1900. Batiment probablement détruit.
Sidérostat de Foucault (Meudon - Observatoire)
Ce systéme fut montré pour la première fois durant l'exposition de 1900
« Scène de marché », partie du Diorama de la Franche Foire de Tourcoing (Musée du centre d’histoire locale – Tourcoing)
Scène, conçue par Hippolyte Lefebvre, faisant partie d’un diorama de la Franche Foire créé à la demande de la chambre de commerce de Tourcoing afin d’illustrer une exposition des productions industrielles de la ville lors de l’exposition universelle de 1900. Ce diorama a bénéficié du grand prix de l’exposition de 1900.
Charpente métallique (Cinéma « Le Palace » - Beaumont-sur-Oise) expo 2020 lille exposition universelle ville candidate
Cinéma construit en 1914 en utilisant une charpente métallique provenant de l’exposition de 1900.
Tableaux triptyque « Au travail » ; « L’effort » ; « 1900 » ; "exposition universelle" (Hôtel de ville – Commentry)
Tableaux de Charles Duvent dans un triptyque de 4.25 m de haut et 9 de longueur.
Table d’exposition 1900 (Radis – Allemagne)
Table monumentale sculptée présentée en 1900 lors de l’exposition universelle.
Meuble en bois de cerisier (Königsberg – Allemagne)
Grand meuble ouvragé vertical en bois et ambre présenté à l’exposition de 1900.
Modèle de l’homme de Pithécanthrope Erectus ( )
Statue présentée à l’exposition universelle de Paris en 1900 et inspirée par la découverte d'Eugène Dubois.
Salle des raisins - Traubensaal du palais consacré aux vins allemands (Caves Kupferberg - Mainz - Allemagne)
Hall d'un superbe style art nouveau reconstruit dans les caves de ce cèlebre producteur allemand de vinification
Fontaine par le sculpteur Froment-Meurice (Face au conservatoire de musique - Thiais)
Fontaine de 2,70 mètres de haut représentant une femme avec nénuphar, fontaine et animal fabuleux. Elle fut exécutée pour l’exposition universelle de 1900 puis érigée à Thiais face à ce qui était à l’époque la mairie aujourd’hui école de musique.
Bâtiment à structure métallique rivetée provenant de l'exposition (Usine d'emboutissage Prestal - Amboise).
Cette halle aurait été démontée après l'exposition de 1900 puis reconstruite a Amboise pour servir à la construction industrielle de la tôle. Il pourrait s'agir de " La Galerie des machines électriques " (à vérifier).
Exposition minière souterraine (Galeries souterraines réparties sous les jardins du Trocadéro et alentours - Paris).
Il s'agit de galeries souterraines aménagées à l'intérieur d'anciennes carrières du Trocadéro pour présenter le monde de la mine aux visiteurs de l'exposition universelle de 1900. Ces lieux sont à peu prés demeurés tels quels et sont parfois fréquentés par des explorateurs amateurs
Elément « Les nymphes de la Seine » provenant d’une fontaine monumentale (Musée de la piscine – Roubaix)
Œuvre en grès émaillé de Sèvres créée par Alfred Boucher en 1899 pour orner une fontaine monumentale érigée à l’exposition universelle de 1900. Cette œuvre a été donnée au musée de Roubaix par la manufacture de Sèvres en 2002.
Panneau décoratif « Brodeuses » provenant du palais de la décoration 1900 (Musée d’Orsay – Paris)
Panneau par Théophile Alexandre Steinlen mesurant 0,870 sur 2,20 mètres
Pavillon du Pérou (Centre d’études d’histoire militaire du Pérou - Lima)
Après l’ exposition, la structure a été transportée au Pérou en 1903 pour être réédifiée dans le Parc Neptuno où elle se trouve actuellement. Sa structure de fer est construite par l'architecte français Fernand Gaillard
Palais national de la Grèce (Athènes - Eglise Agios Sostis)
Ce pavillon qui était présenté en 1900 sur les bords de Seine a été déménagé ensuite pour etre reconstruit dans le quartier de Néa Smyrni à Athènes en tant qu'église
Elements du palais des indes Néerlandaises - Indonésie ( Maison Notre-Dame / Centre culturel ville de Presles Val d'Oise )
Cette maison présente des sculptures en bois (porche, salle à manger) d'inspiration indonésienne achetées par Louis Hayaux du Tilly. Elles ornaient le pavillon indonésien de l'exposition universelle de 1900. Cette battisse a été acquise depuis par la Municipalité de PRESLES pour y installer son Centre culturel, qui est ouvert au public depuis Janvier 2008.
Elements de la porte d'entrée de l'exposition universelle de Paris 1900 ( Cauterets - actuelle bibliothèque municipale ) A CONFIRMER
Orgue de la firme Abbey exposé à l'exposition 1900 ( Clichy-la-Garenne - Hauts-de-Seine )
Cet orgue construit par la maison Abbey en 1899 a été exposé à Paris lors de l'exposition universelle de 1900 dans le palais des Lettres, Sciences et Arts (Champ-de-Mars) en classe 17 dans une salle de concert au premier étage. Après l'exposition, il a été installé au Centre Culturel Catholique rue Saint Didier dans la salle "Humbert de Romans". En 1905 la salle a été démolie, la paroisse de Clichy-la-Garenne a racheté l'orgue. En 1978, l'orgue est inscrit à l'inventaire des monuments historiques et en 1984 la partie instrumentale est classée (conception Camille Saint Saëns). En 1999, cet orgue de conception unique a été restauré.
Carte de France en Pierres Précieuses de la Section Russe (musée du chateau de Compiègne- Oise)